64 ans que les mensonges continuent d’entraver notre avancée. Depuis bien longtemps que des tribus politiques de Fassis ont hypothéquées notre histoire pour leur faveur.
Déjà en 1930, alors que les braves gens continuaient a s’opposer à l’envahisseur du pays, et les tribus amazighs du haut Atlas et du sud-est avaient retrouvées l’armée française à la bataille n’AYT IεQUB, la mouvance dite nationaliste se préparait déjà dans les salons des villes comme Fès, Sale et Tetuan à s’emparer des richesses du pays d’après l’indépendance. Et avançaient le Latif qui n’était que la première étape d’un feuilleton qui allait marginaliser Imazighen.
Le Manifeste du 11 janvier n’était qu’un médiocre épisode de ce grand mensonge qui voulait mettre en avant de la scène des types qui avaient vendu le pays la veille de 1912 en contre partie d’une sécurité qui ne leurs été possible contre des amazighs déterminés à mettre fin aux pouvoir archaïque et corrompu de Fès. Tout en oubliant les véritables héros de la résistance qui n’avait posée les armes qu’en fin de 1933 ;
Il faut répéter à chaque fois aux générations actuelles que des femmes de Fès poussaient des youyous lorsque les dépêches de l’occupant rapportaient une défaites des Amazighs, et que des imams de mosquées portaient à nos grands parents la responsabilité de leurs mort dans les monts de baddu et Saghru et appelaient à la récapitulation et rendant leurs combats illégitime.
Alors que doit-on dire à nos enfants lorsqu’ils nous demandent ou avaient cédés leurs âmes leurs grands parents et pourquoi ? Que doit-on leur dire quant à l’ignorance de l’état de leur passé glorieux, alors que d’autres fêtent des mensonges.