Ca y est c’est parti pour une autre péripétie de cavalcade électorale. Les uns nous parlent d’un demain meilleur, sans pauvreté et sans chaumage et d’autres essayent de nous convaincre que nous vivons déjà le paradis.
Dans une semaine, vingt milliards de centimes auront déjà volatilisées des caisses de l’état pour trouver refuge dans les poches de ces créatures politiques qui ne surgissent qu’a chaque fois le festin et de taille ! Une somme colossale, puisqu’elle aurait servit à autre chose que de porter atteinte à la propreté de nos rues déjà médiocres, de créer des malentendus entre tribus et individus déjà en tension et de remplir des poches déjà pleines d’argent sale.
Tout un carnaval, des échéances et des bousculades, un statu-quo qui perdure depuis longtemps, des compagnes qui incitent les gens à se diriger vers les urnes, et une jeunesse qui refuse de valider des caricatures politiques.
En me dira et quoi faire ? et bien la réponse n’est pas à moi, elle est à ceux qui ont et la serrure et la clef