L’autonomie des régions amazighophones est une feuille de route garantie à l’échec que certains berbéristes scandent dernièrement.
C’est d’abord une alternative limitée qui accentue d’avantage le fossé qui sépare l’aspiration des masses à vivre leurs amazighité pleinement et la volante de créer des entités fantoches qui seraient faibles et faciles à phagocyter par d’autres cultures étrangères.
C’est ensuite un ancien rêve du makhzen qui ne tarderait a octroyer un statut de région autonome à tout coin pauvre en infrastructures et en potentiel économique et à les bivouaquer dans des cantons non capables d’aucune autosuffisance. Le makhzen pourrait ainsi baypasser toutes les doléances légitimes des Amazighs et intervenir en secouriste ce qui les laisserait dépendantes et gravitantes autour de lui.