Pas plus de deux semaines ont séparées un événement en deux phases. La mort d’un homme déjà recensé morts toute en étant vivant Basri Idris, et la renaissance tel un fennec d’un diable considéré mort mais voila qui est de retour aux commandes de la primature du pays .
Comme un pure hasard, un homme qui avait usé de tout les pouvoirs, à qui tous les hypocrites qui étaient à l’origine de la misère du pays s’inclinaient au passage, qui cède dans un silence célèbre que son engouement et un autre vorace à embrasser le même pouvoir de ses ancêtres qui avaient démontrés un échec absolue.
En nous dirait que la moralité et la politique se croisent, mais ne se rallient jamais, que l’illicite la démagogie et le pragmatisme sont des typiques d’hommes de l’état, mais Abbas est plus que ça, un charognard qui n’hésite pas à mâcher d’une dépouille qu’il avait laissé il y’avait 7 ans dans l’affaire Annajat.
Le non regretté ministre de l’intérieur qui avait quitté en se ricanant depuis son haut immeuble parisien de la justice qui n’avait pas pu l’interpeller semblait passer le témoin à d’autres qui s’apprêteraient à emprunter le même chemin.
Un mort qui corrodait de toutes les légitimités publiques pour se débarrasser d’une responsabilité des atrocités devenues années du plomb , et un autre mort qui voudrait monter au créneau sans avoir la hardiesse de confronter ses dogmes et ceux de sa lignée politiques hasardeux et destructeurs .
Faudrait-il s’attendre encore une fois à des Najat-gate à l’échelle de la nation , à des dahirs berbère du nouveau millenium ou un certain cannibalisme politique et économique qui s’emparerait du tout reste du reste des richesses du pays ?