Hier encore, une horde de syndicalistes passés, aux slogans caduques venue en secours par nombreux soit disant intellectuels marocains, avait organisée des journées dites des prisonniers !
Sauf que voila, cet incarcéré n’était ni aux geôles du pouvoir à Imtghren, à la célèbre prison Zaki de Salé ou même celle de Sirkagi en Algérie ou pourrissaient et continu de le faire des milliers de prisonniers politiques. Ces caricatures politiques vieillottes dirigées par des Benjelloun Andaloussi & Coo usaient des grands moyens en occupant les plus prestigieuses salles de théâtres ou invités de marque devenus eux aussi périmés à l’instar des Marcel Khalifa et Said Elmaghrabi. On aurait du poncer être aux années 90, quant Marcel Khalifa en invité au Maroc créait l’événement culturel de l’année due à l’hibernation de la conscience du peuple Amazigh qui chantait la révolution qui n’était pas la sienne !
Je me demande qui ose aujourd’hui encore parmi les marocain avaler la couleuvre ? À qui ce type de brouhaha est dirigé si ce n’est contre les citoyens de notre pays qui à chaque foie se font convoqués aux merdes du moyen orient pour oublier leurs souffrances.
Qui encore, ose financer ces activités douteuses, si ce n’est des communes aussi pourri que ces structures syndicales et politiques toutes attachées au moyen orient et loin des préoccupations de nos peuples ?
La révolution, la première, que nous devons un jour réussir, c’est de chasser de nos rues, de nos formations syndicales et politiques et surtout de nos esprits cet moyen orient qui nous tire vers l’enfer des guerres, assassinats et obscurantisme sans limite.
Trois journées de soutient au palestiniens emprisonnés, dépenses en millions de dirhams au moment ou on nous demande de serrer la ceinture, n’est nous rapprocher un pas en avant vers l’enfer du moyen orient et nous mêler de ses conflits fratricides qui ne produit au quotidien que des cadavres sur trottoirs et discours de haines en direct sur chaînes satellitaires.