Déjà la date me parait bizarre à coïncider avec la fin des hostilités à Bddou un été de 1932 , tout simplement par ce que les survivants racontaient qu’il était temps des moissons du blé , mais encore et surtout que la célébration de l’événement n’avait pas pris en considération les nombreux vrais combattants encore en vie ni leurs mémoires à Asoul , Tana , Amellago , Tinghir , goulmima , en dirait que c'etait seul des Fillalis qui vaient conbatus à Baddou .
Il le célébrerons comme ils le font pour la bataille de Bougafer , en invitant des anciens combattants qui n’avaient combattus que l’avidité de leurs ventres , des portes paroles d’une histoire qui n’était pas et que ne sera jamais la leurs et qui avaient déjà dans une émission radio déclarés être les véritables résistants et les offrants légitimité alors qu’ils n’avaient jamais étés au maquis , il parlerons de tous sauf de nos grands parents qui avaient péris au monts de Baddou un certain été de 1932 . il dirons que la résistance était résolue et indocile parce qu’il défendaient autre chose que ce que défendaient nos martyres , l’honneur de l’homme amazigh qui ne coule son meilleurs sang que pour perpétuer la tradition de l’homme libre , l’homme qui ne s’achète et qui ne se vent pour des dirhams misérables que leurs payerait l’état .
Si quelqu’un croit que le temps et l’oubli pourrait faire gommer les vrais héros et ceux qui étaient au péril de leurs vies aux garrigues de Baddou c’est qu’il est fautif , la mémoire collectif des nôtres et nos montagnes témoignerons que des hommes libres combattaient la bas au même temps que d’autres préparaient déjà à s’emparer du gâteau de tout le gâteau .
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