Voici la dernière houle d’une haine que portent certains malades aux droits légitimes des imazighen à conquérir leur identité, leur droit à respirer l’air sur terre.
Voici un exemple d’un simple employé licencié de la Radio FM de casa qui s’empare du tout et du rien pour défendre ses intérêts. Il ne trouve devant lui que récidiver des ritournelles vieilles de soixante ans que lui et sa lignée essayent à redonner vie.
Chaque fois que notre combat pacifique et légitime gagne du terrain, il faudrait s’attendre à des types pareils qui préféreraient le déluge, la guerre civile et la descente à l’enfer, que de voir notre pays réconcilier avec son histoire.
La réponse à ses types réside dans notre œuvre à bâtir une société démocratique et à sauvegarder notre patrimoine et civilisation plusieurs fois milliaire.
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