Le Sahara puis le Sahara et rien d’autre que le Sahara ne fait vibrer les rythmes des medias de l’état, des associations de l’état bref de l’état tout entier.
L’histoire et la toponymie de ces étendues désertique n’indiquent qu’une chose, son identité Amazigh. Même les sahraoui méprisés par la politique menée par le camps des petits dictateurs, les notables locaux, lorsque ils ont pensés dernièrement à ériger un camp à l’est de Laayun, il ne pouvait s’appeler qu’Ageddim Izigi, un nom Amazigh bien sur.
Loin de toute tartuferie politique ou surenchère politicienne, nous n’accepterons jamais à ce que ce bout de terrain de notre pays arrosé par le sang de milliers d’Imazighen, soit les temples d’une république fantoche arabe.
Mais comment arriver à outrepasser cette amorce que les donneurs d'ordres à Alger ont tissé depuis l’ète Boumediene ? Sachant qu’à présent toute les tentatives de guerre ou réconciliation et négociation a démontré qu’il s’agit d’un tunnel sans bout ni fin. L'Algérie à force de soutenir financièrement et diplomatiquement cette cause a fini par devenir sa victime.
Le Maroc quant à lui, ayant beaucoup investit en argent et en politique à alléger ces territoriale, ne pourra faire marche arrière et offrir à cette horde de salopards bourrés d’idéologie baathiste dépassée partout ailleurs l'occasion de clouer un état arabe au pays des Amazigh.
Il ne faut pas donc s’attendre à une solution de ce conflit fomenté par les ennemis de nos peuples sans faire appel à la dimension Amazigh de nos pays nord africains.
Imazighen du Maroc et d’Algérie doivent intervenir pour faire pression sur les responsables de leurs pays à établir la démocratie et réconcilier l’identité Amazigh de nos pays.
Les dirigeants de nos frères d’Algérie durant les années 70 et 80 chantaient l’hymne du Maghreb des peuples sans réellement donner parole à ces peuples et le choix de refuser la débilité du nationalisme et du panarabisme importé nonobstant la volonté de nos peuples. Il est temps de sens à ce dicton du Maghreb des peuples en les écoutant refusant la fermeture et les rideaux de fer.
Seul une démocratie participative des peuples de la région mènera à une solution de ce conflit qui a, marqué les générations de l’après indépendance, fermé les frontières et tardé notre développement.