En 1974, une délégation d’étudiants arabes , en congres à Damas , avait rendue visite au président syrien Asad en exercice à l’époque, pour lui implorer pour quant se serait la guère prochaine contre l’ennemi israélien !!
Le Rais, avait à peine achevé le montage d’une nouvelle idéologie qui s’est fondée sur le slogan : « la guère à l’ennemi au moment et quant nous le déciderons ». le groupe d’étudiants sortis euphoriques par ce qu’on leurs avaient dit que quelque chose mijotait au secret et que rien ne se surviendrait cette fois sauf que si les arabes s’assuraient qu’il allaient gagner la guerre .
Trente ans après , rien ne s’est passé sur la ligne de démarcation et la Syrie empiété d’un quart de sa surface au Golan par Israël , continue de vendre le mensonge à son peuple .
Les décideurs arabes, ceux de Tamazgha aussi, avaient importés la même politique mais bien sur en intervenant pour y remédier et apporter des retouches. M’intéresse moi de parler de celle-ci made in Tamazgha, les conséquences et la fatalité celle de la mésopotamie et autres, vous les voyez au quotidien dans les télés.
Qui ignore encore aujourd’hui, la relation qui liait et continu de le faire, les décideurs du Maroc et ceux de l’état hébreux ? Qui des partis politiques, des mouvements de rue et des syndicats qui n’avait et continue d’user de l’affaire palestinienne pour se coter a la hausse auprès des citoyens qui en épaulant la cause palestinienne, le font en signe d’humanité et de refus aux atrocités et sauvageries perpétrés au quotidien dans le moyen orient ? maintenant encore et hier seulement , toute les centrales syndicales , les partis politiques et le comités panarabiste de soutien aux palestiniens et aux Iraqiens défilaient dans la rue à l’occasion du blocus de Gaza , avaient prônées des slogans et des cris (comme ça) qui appellent à la libération de la Palestine , en dirait que Ulmert recevait des directives de la rue a qui en crache des hymnes des années 70 , « Palestine arabe , a bas a bas le complot » si en ajoute a cela l’appui financier officiel qui ne cesse d’alimenter les coffres des fondations palestiniennes , en comprendra que le combat est effectivement continue , mais contre qui ? Israël, l’arrogance et la dissuasion ? Où contre un sentiment d’appartenance identitaire qui se voit limité à la frontière du Nil aux faubourgs de Siwa ?
Jamais aucun parti politique, jamais aucune association culturelle n’avait dénoncée les sanglantes répressions du pouvoir algérien contre les citoyens de la Kabylie, pourtant très proche de nous, jamais aucune de ses pseudos formations n’avaient dénoncée le génocide perpétré contre les touaregs de l’Azawad, jamais ils n’ont denoncés la marginalisation des populations laissées à l’abandont dans les cymes des montagnes et aux fonds des deserts ou aux geoles des prisons , alors qu’il se bousculaient pour marquer présence dans une manifestation de soutient à un cameraman d’Ajazeera capturé a Guantanamo.