Notre pays, contrairement à ce que l’on pouvait croire, subit ces dernières années une offensive médiatique sans précédente visant à falsifier notre histoire.
Des millions de dirhams se débloquent, des budgets d’associations ambiguës maintiennent la pauvreté du peuple et une machine médiatique de l’état mise à disposition d’un projet de ségrégation racial qui a pour but de pérenniser des faits historiques tout simplement inventés et fabriqués.
Une semaine de jubilés ne suffit pas pour une association à peine montée pour le hasard à Fès pour convaincre les Marocains que leur histoire ne débute qu’avec l’arrivé du premier chamelier arabe au remparts d’un pays Vraisemblablement sans passé voila 12 siècles seulement !
Le mensonge n’étant pas avalé, la dite association faisait appel à des pseudo amazighs pour les appuyer sous prétexte que notre identité n’est en réalité qu’un brassage de cultures mais, remarquez le, dont l’arabe et l’islam forment l’ossature. Persuadés que l’initiative n’a pas également donné l’estampille espéré, les défenseurs d’un Maroc arabe et andalou déciderons d’organiser une caravane d’histoire qui passerait par la plus part des grandes villes du pays.
Cette façon de mentir ne passera pas certainement et ses révélateurs verrons à l’échec leurs entreprise tous simplement par ce que jamais une phobie de délires n’échapperait à un peuple qui connaît son histoire.
Autre chose, mais dans la même logique d’hallucination, dans toutes les révolutions du monde, le peuple trépide les piliers de la dictature ou d’une monarchies oligarchiques et archaïque pour la faire tomber , sauf chez nous ou l’on nous oblige à admettre que c’est le contraire ! Aujourd’hui encore, le présentateur des infos du J.T de 20h n’a pas froid aux yeux de déclarer que nos parents péris à Saghru et à Baddu l'ont fait pour défendre le trône ! C’est un autre mensonge qui n’a rien à envier à celui de l’image du souverain à la lune !
Ca démontre que le tsunami des mensonges n’a pas encore transgressé de nos terres. En fait, chacun fait sa fête.
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